Les nuits, en institution, sont assurément des moments particuliers à gérer. Tant par les résidents (vivant au crépuscule une montée d’angoisses) que par les soignants (souvent en effectifs réduits pour veiller sur des chambrées que Morphée déserte). Gros plan sur l’influence du jour sur la nuit, et vice & versa. Et cap sur « des détails qui tuent », comme l’overdose de bruit diurne qui a des effets nocturnes.
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